Je baiserai tes mains et tes divins pieds nus,
Et nos cœurs pleureront de s'être méconnus,
Pleureront les mots vils et les gestes infâmes.
Des vols s'attarderont dans la paix des chemins...
Tu joindras la blancheur mystique de tes mains,
Et je t'adorerai, dans l'ombre où sont les âmes.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire