Je me rendis dimanche après-midi à dix heures chez Clara, comme nous en étions convenues. Je la trouvais s’affairer pour mettre en ordre son appartement.
- Mademoiselle Ava Swann va venir, me dit-elle, tu va découvrir quelque chose de moi qui devrais t'amuser. Caches-toi dans ce petit coin, tu pourras entendre et voir tout ce qui se passera.
Un instant après, on sonna à la porte. Je me sauvais dans le coin et m’y installais confortablement. Cette femme entra et Clara se jeta à ses pieds, mais elle la releva et la fit asseoir à ses côtés.
- Il est nécessaire, lui dit-elle, que je m’assure de ton dévouement. Mais montre-moi les stigmates que je t’ai faits hier sur les fesses. Sont-elles dans le même état que je les ai laissés ? Voyons un peu, dit-elle amusée.
Clara se mit en devoir de baisser son pantalon et se tourna pour lui montrer ses demi-lunes.
- Ah ! Magnifique ! Baisse-toi un peu que je vois mieux (elle lui caressa les fesses). De pareilles choses sont faites pour me réjouir. Bon, dit-elle, je suis contente : ta maîtresse t’aime bien. J’ai eu soin d’apporter avec moi la paire d’escarpins que tu m’as offerts, tu vas pouvoir les admirer à mes pieds. Je t’ai déjà dit, Clara, continua-t-elle, que je te distinguais de toutes mes soumises, comme je distingue la lune du soleil. Nous allons commencer, poursuivit-elle. Exerce bien ta dévotion à ta divine Maîtresse, et soit sûr que l’on finira par un torrent de délices inexprimables. Mets-toi à genoux devant moi !
Clara obéit aussitôt sans répliquer. Elle se mit à genoux devant Mlle Ava Swann qui était assise sur le canapé. Puis, levant la robe qu’elle portait, elle laissa voir deux petits pieds charmants, chaussés de délicats escarpins.
Alors Mlle Ava Swann allongea sur la table basse qui lui faisait face, les jolis pieds que Clara venait de déchausser avec la bouche. Elle exigea qu’elle prenne tout son temps pour les masser. Attentive à l’événement de cette scène, j’étais remplie de fascination, je sentais une sorte de frémissement que je ne puis décrire. Clara ne disait mot. Mademoiselle Ava Swann se délectait de ses soins. Puis elle remuait ses orteils, croisait et décroisait les jambes. Clara commença par ouvrir la bouche et essaya d’y attraper tous les orteils sans la mordre. Après quelques minutes, elle demanda à sa dévouée de sucer chacun de ses orteils comme autant de petites sucettes.
- Oui, Maîtresse, lui dit-elle : je sens que mon esprit se détache de mon corps, je te supplie de commencer tout ce que vous voulez avec moi.
- C’est très bien, petite chienne, je suis très contente.
Elle demanda à Clara de s’allonger au sol sur le ventre, face contre-terre. Elle sortit de son sac une longue cravache, qu’elle donna à baiser à sa pénitente. Elle lui remonta le derrière pour placer sous son ventre de gros coussins. Elle commença par trois coups qu’elle lui appliqua assez légèrement. Ces trois coups furent suivis de quelques petites caresses, et successivement de trois autres coups de cravache un peu plus fort que les premiers. Au bout de dix minutes, les coups pleuvaient avec une force inouïe. Quelle fut ma surprise lorsque je la vis retirer sa petite culotte et ordonner à sa soumise de se retourner sur le dos. Le visage de Clara était rouge comme une pivoine. Elle enjamba la tête de sa captive et fit tomber une grêle de coups de cravache, sur toutes les parties de son petit corps, qui gémissait de la violence de ces attaques. Cependant, son visage rayonnait car elle devait voir le sexe de sa divine qui s’apprêtait à s’asseoir sur son visage.
Mademoiselle Ava Swan s’abaissa et couvrit le visage de Clara de ses fesses. Jamais on ne lui a présenté plus beau : son sexe était entr’ouvert et elle découvrait en entier la double route des plaisirs oraux.
Le crédit photo : Claire's Slaves
Que c'est excitant tout ça! hum !
RépondreSupprimerEtre attachée au pilori avec "obligations" de léchage et succion de doigts de pieds ...! ça me dirait assez! Ca m'ouvre des horizons ...