Là où triomphe les femmes et les valeurs
féminines, l’homme réagit à leur supériorité et opère à la lumière de la raison
retrouvée. Éloigner pour toujours l’idée que la gente féminine est dépendante
du désir masculin et prouver par des intentions quotidiennes que je souhaite
définitivement rendre hommage aux reines convaincues et aux princesses à
convaincre.
C’est ainsi que Reine Azure a persuadé Sabah,
sa femme de ménage, la quarantaine magnifique, qui était venue pour la soirée,
de se laisser aller à un plaisir qu’elle n’aura jamais chez elle. Reine Azure
lui assura qu’elle lui donnerait le contrôle de la soirée de demain si elle
acceptait de se faire adorer comme une reine par Clara et moi.
Hésitante parce que intimidée, elle s’asseyait
dans le fauteuil et entreprit de retirer ses bottines, ses chaussettes. Elle
posait devant elle, sur la table basse, ses pieds délicats dont elle écartait
les orteils pour les soulager de leur enfermement de sa longue journée.
Lorsque je me suis approchée de ses doigts de
pied, je me suis mis à les humer, car j’aimais leur odeur de cuir chaud. Au
contact de ma joue sur sa voûte plantaire, j’ai adoré leur moiteur et lorsque
j’entrepris de passer ma langue entre ses orteils, j’ai aimé les voir s’agiter.
Elle fermait les yeux et était dans le ressenti. Il était évident, à la voir,
qu’elle jubilait et savourait cet instant avec bonheur. Alors que moi, je me
délectais à sucer son talon. Clara de son côté m’imitait avec gourmandise sur
l’autre pied.
Lorsque ces instants furent terminés, Sabah
promit à Reine Azure de passer beaucoup plus souvent et surtout de revenir
demain pour la soirée qui lui est dédiée.
A chaque fois que je regarde la rousse sur canapé j'ai envie de crème au caramel! c'est normal?
RépondreSupprimerUn bien bel hommage à cette quarante magnifique et ces friandises que j'ai adoré imaginer écartées en éventail dont la chair moite rougis par une longue journée d'enfermement devaient exhaler les senteurs les plus affolantes....
RépondreSupprimerPlonger une langue inquisitrice entre chaque interstice capiteux pour y cueillir ce nectar salé qui me fait défaillir ...
Mais dans mon esprit la soumise ce n'est pas moi, cette grappe de boules de chair si vulnérables, offerte avec imprudence ce ne sont entre mes lèvres carnassières que de bien fragiles créatures que j'aime malmener avec furie....
Peut-être que quelques lectrices de ce blog si délicieux partagent ma vision des choses et dévorent du regard au sens littérale du terme de belles inconnues se déchaussant négligemment en public en salivant à l'idée de se goinfrer de ces ravissantes et si appétissantes boules de chair odorantes ...
Bises carnassières à toutes ;))))))
J'ai l'Esprit de Femmes comme Mélinda Martin qui mangerait volontier de la crème caramel aux pieds de sa rousse.
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